Véronique Bréger présente les ouvrages Les chroniques d’Ouranos, D’un trait et Open space
TweeterL’autrice :
Il était une fois… L’écriture
A force de me raconter des histoires dans ma tête, j’ai fini par me mettre à les écrire. Il m’est impossible de faire le compte du nombre de textes commencés et jamais achevés dont j’ai, la plupart du temps, perdu la trace.
Ma boite à idées est en perpétuel mouvement. Le plus difficile est de canaliser et de se tenir à un choix, quitte ensuite à se dire « ce n’est pas bon, cela ne me plait pas, je n’ai plus envie, etc. », et à laisser les mots au fond d’un cahier ou d’une clé USB, ou d’un nuage.
En résumé, je commence beaucoup et je termine peu.
Le travail d’écriture m’a obligée à la persévérance.
Je compare souvent l’écriture à la course de fond. Sauf que dans ce cas, la distance n’est pas connue au départ. Dans cet exercice, il y a des moments de joie voire d’euphorie, alternant avec les temps morts, les pannes, les angoisses. Il faut sans cesse remettre l’ouvrage sur l’établi.
Tout passe par l’idée. Celle qui traverse l’esprit, fulgurante et fugace. Pas question de la noter si l’on est au volant de sa voiture… Alors il faut s’arrêter, trouver un morceau de papier, n’importe quoi pour griffonner à la va-vite ce qui vient de jaillir. Et si l’on n’a pas de papier, pas de stylo, pas d’ordinateur… pas de mémoire ?
Il y a des situations critiques dans la vie…
De livre en livre, Véronique Bréger entraine le lecteur dans son univers atypique et lui garantit à chaque fois une nouvelle atmosphère, un nouveau ton et de plus en plus d’images…
Les livres :
Les Chroniques d’Ouranos
Imaginez Ouranos, une mégapole futuriste, suffoquant sous la pollution, et une femme politique machiavélique, prête à tout pour asseoir son pouvoir.
Ajoutez une cargaison de plantes dépolluantes dont les vertus vont être dévoyées et prenez au piège de la machination, Soann, une jeune femme intrépide et perspicace.
Faites-lui croiser le chemin de l’énigmatique et séduisante Aléna et laissez-les remonter ensemble le fil d’Ariane qui va leur permettre d’épargner à la cité la tyrannie et l’asphyxie.
Ouranos serait alors sauvée.
D’un trait
Je m’appelle Léa, j’ai 17 ans.
Hier, un pensionnat, une lycéenne, une jeune prof : les ingrédients parfaits d’une rencontre convenue. Mais dans ma vie, tout n’est pas si prévisible.
Aujourd’hui, une chambre, une plage, un cerf-volant qui caresse l’horizon… Le bonheur tient parfois à un fil. Si seulement j’avais la force d’oser.
Demain, j’ai l’impression d’avoir trouvé ma voie, il ne me reste plus qu’à trouver les mots…